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lundi 16 mai 2016

Une fille riche déteste son frère handicapé, puis un jour elle découvre la réalité et ça changera sa vie

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Cette fille riche avait tout ce qu’elle voulait. Mais quand sa famille a accueilli un autre enfant sa propre vie a basculé. Elle détestait son frère à cause de la douleur qu’il a causé à la famille, mais elle ne se doutait pas que les choses allaient tourner de cette façon.

Ceci est la lettre touchante qu’elle a écrite à son petit frère 


Cher Patrick,

J’étais un enfant unique qui avait tout ce qu’il pouvait désirer. Alors quand maman m'a dit qu'elle était enceinte, j’étais en extase. J'imaginais à quel point tu serais merveilleux et comment nous serions toujours ensemble.

Donc, quand tu es né, je regardais tes petites mains et tes pieds et j’étais émerveillée par la façon que tu avais d’être beau. Nous t’avons amené à la maison et je t’ai montré fièrement à mes amis. Ils t’ont touché et parfois pincé, mais tu n’as jamais réagi. Quand tu étais âgé de cinq mois, certaines choses ont commencé à déranger maman. Tu semblais si immobile et engourdi, et tes cris étaient étranges, presque comme ceux d’un chaton.

Nous avons consulté de nombreux médecins. Le 13e qui t’a examiné tranquillement a dit que tu avais le syndrome «cri du chat». Quand j’ai demandé ce que cela signifiait, il m'a regardé avec pitié et dit doucement : «Ton frère ne pourra jamais marcher ni parler.»
Le médecin nous a dit que c’est une maladie qui touche un bébé sur 50 000, ce qui rend les victimes sévèrement retardées. Maman a été choquée et j’étais furieuse. Je pensais que c'était injuste. Quand nous sommes allés à la maison, maman t’a pris dans ses bras et a pleuré. Je t’ai regardé et réalisé que tu n'étais pas normal. Donc, pour conserver ma popularité, j'ai fait l'impensable... je t’ai renié. Maman et papa ne le savent pas, mais je me suis entraîné à ne pas t’aimé quand tu as grandi.

Maman et papa prenaient soin de toi avec amour et ça me rendait amère. Et comme les années ont passé, l'amertume s’est transformée en colère, puis en haine.

Maman n'a jamais renoncé à toi. Elle savait qu'elle devait le faire pour toi. Chaque fois qu'elle te donnait tes jouets, tu te faisais rouler au lieu de ramper. Je regardais son cœur se briser chaque fois qu'elle t’enlevait tes jouets et attachait ton ventre avec de la mousse de telle sorte que tu ne puisses pas rouler. Tu avais de la peine et tu pleurais de cette façon pitoyable, le cri du chaton. Et puis un jour, tu as défié les pronostiques de tous les médecins qui t’ont analysé.

Quand maman vit cela, elle savait que tu marcherais éventuellement. Ainsi, lorsque tu as rampé à quatre ans, elle t’a mis sur l'herbe avec seulement ta couche en sachant que tu détestais la sensation de l'herbe sur ta peau. Et elle t’a laissé là. Je regardais par la fenêtre et je souriais à voir ton inconfort.
Tu voulais ramper sur le trottoir et maman te ramenais en arrière.

Encore et encore, maman a répété cela sur la pelouse. Jusqu'à ce qu'un jour, maman te voit te lever et trotter hors l'herbe aussi vite que tes petites jambes pouvaient te transporter.

Riant et pleurant, elle a crié pour que papa vienne voir.

Papa t’a serré dans ses bras et pleuré. Je regardais de ma fenêtre de chambre à coucher cette scène déchirante.

Au fil des ans, maman t’a appris à parler, lire et écrire. Dès lors, je t’ai vu marcher à l'extérieur, sentir les fleurs, admirer les oiseaux, ou tout simplement sourire à personne. Je commençais à voir la beauté du monde autour de moi, la simplicité de la vie et les merveilles de ce monde, à travers tes yeux. C’est là que je me suis rendu compte que tu étais mon frère et peu importe combien j’ai essayé de te détester, je ne pouvais pas, parce que j'avais appris à t’aimer.

Au cours des jours qui ont suivi, nous avons de nouveau fait la connaissance l’un de l'autre.

Je t’ai acheté des jouets et donné tout l'amour qu'une sœur ne pourrait jamais donner à son frère. Et tu m’as récompensée en souriant et me serrant dans tes bras. Mais je suppose que tu n’as jamais vraiment été fait pour nous. À ton 10e anniversaire, tu as ressenti des maux de tête graves.

Le diagnostic du médecin fut une leucémie. Maman et papa étaient terrifiés, alors que je me suis battu dur pour empêcher mes larmes de couler. À ce moment, je t’aimais encore plus. Je ne pouvais même pas supporter de te laisser seul. Ensuite, les médecins nous ont dit que ton seul espoir était de recevoir une greffe de moelle osseuse. Tu es devenu l'objet d'une recherche nationale pour trouver un donneur. Quand enfin nous avons trouvé le bon candidat, tu étais trop malade et le médecin a à contrecœur exclu l’opération.
Depuis lors, tu as subi de la chimiothérapie et de la radiothérapie.

Même à la fin, tu as continué à mener ta vie. Juste un mois avant de mourir, tu m'as fait dresser une liste de choses que tu voulais faire quand tu serais sorti de l'hôpital. Deux jours après que la liste a été complétée, tu as demandé aux médecins de t’envoyer à la maison.

Là, nous avons mangé de la crème glacée et du gâteau, couru à travers l'herbe, fait voler des cerfs-volants, sommes allés à la pêche, avons pris des photos de l'autre et laissé les ballons voler.

Je me souviens de la dernière conversation que nous avons eue. Tu as dit que si tu mourais et que je voulais t’aider, je pourrais envoyer une note au ciel en l'attachant sur la corde d’un ballon et le laisser voler.

Quand tu as dit cela, j’ai commencé à pleurer. Ensuite, tu m’as serrée contre toi. Puis à nouveau, pour la dernière fois, tu es tombé malade.

Ta dernière nuit, tu as demandé de l'eau, un massage du dos et un câlin. Plus tard, à l'hôpital, tu as lutté pour parler, mais les mots ne venaient pas.

Je savais ce que tu voulais dire. «Je t’entends», ais-je murmuré. Et pour la dernière fois, je l'ai dit, «Je t’aimerai toujours et je ne t’oublierai jamais ! N’ais pas peur. Tu seras bientôt avec Dieu dans le ciel.»

Puis, avec mes larmes qui coulaient abondamment, je regardais le garçon courageux que je n'avais jamais connu enfin arrêter de respirer.

Papa, maman et moi avons pleuré jusqu'à ce que je me sente comme si il n'y avait plus de larmes en moi. Patrick est finalement disparu, nous laissant derrière. À partir de là, tu as été ma source d'inspiration. Tu m'as montré comment aimer la vie et la vivre au maximum.
Avec ta simplicité et ton honnêteté, tu m’as montré un monde plein d'amour et de compassion. Et tu m’as fait réaliser que la chose la plus importante dans cette vie est de continuer à aimer sans se demander pourquoi ou comment et sans fixer de limite.

Toi, mon petit frère, merci pour tous ces précieux moments

Ta sœur, Sarah

Source : www.ayoye.com

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