C’est le monde à l’envers.
Un gardien de la paix a été condamné à douze mois de prison avec sursis assortie de l’interdiction définitive d’exercer son métier. Cerise sur le gâteau, il devra également verser 5000 euros de dommages et intérêts à l’homme qu’il a interpellé.
Celui-ci, actuellement en prison pour une autre affaire, avait accusé le policier de l’avoir interpellé trop violemment.
La scène se passe dans la nuit du 26 novembre 2014 à Vaulx-en-velin. Un équipage de la police engage une course poursuite avec une voiture refusant de s’arrêter pour un contrôle.
Finalement, le fuyard est interpellé et c’est au moment d’être menotté que l’homme affirme que le gardien de la paix lui aurait enfoncé son pistolet dans la bouche.
L’enquête s’est limitée à la découverte d’une trace d’ADN de la victime sur l’arme du policier.
Quant au délinquant, il ne sera même pas jugé pour son acte…
Source: Le Progrès
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